Beaucoup pensent que le Free Fight et le K1 sont des disciplines de combats au même titre que le kick boxing, le taekwondo ou le karaté.

Ce n’est pas du tout le cas !
En effet, le Free Fight et le K1 sont des fédérations. Leur création est venu d’une idée de base que beaucoup de combattants de haut niveau se posaient. Qui est le plus fort ?!!

De ce fait, avec la participation de combattants de haut niveau, ces fédérations se sont créées.
Le Free Fight et le K1, tel que beaucoup les connaissent, sont des combats de sang et de fractures ! C’est faux, tout du moins en parti, car la fédé de K1 est interdite en France pour son aspect « trop violent ».Le Free Fight a été décomposé en 2 fédération très distincte. Le Free Fight, qui est resté l’idée de départ, et l’UFC (Ultimate fight), plus comparable au k1, mais en encore plus « bestial ».

Le Free Fight est tout a fait autorisé en France. De plus, il y a plein de club de Free Fight en France. Il y a même des compétitions inter club. Le Free Fight est ouvert à tous, néophytes (sinon les clubs n’existeraient pas) et sportifs de haut niveaux.

En club (en France), lorsque des compétitions sont organisées, des règles bien précises sont mises en places, telles que : pas de frappes poing au visage, pas de torsions lors des soumissions, pas de frappes au sol… Pour un combattant de Free Fight, il y a deux manières de gagner un combat, le KO (comme en boxe), et les points. L’engrangement des points se fait par les techniques de frappes, mais surtout par soumission au sol. Certes, les combats sont plus virils, c’est pourquoi les combats ne dure jamais plus de 3 ou 5 rounds (suivant les compétitions), et ceci, toujours dans un soucis de préserver la santé des combattants. C’est le credo de la fédération française de Free Fight.

Lors des combats en Free Fight, les disciplines de pieds poings prennent rapidement le dessus sur les disciplines de corps a corps. Mais une fois au sol, un judoka ou un lutteur soumettra rapidement un karatéka. C’est pourquoi l’on voit souvent des combattants s’entraîner sur des techniques que leur discipline ne leur permet pas d’apprendre (pied poing pour un lutteur ou un judoka ; combat au sol et prise de soumission pour un boxeur (anglais, français, thaï,…) ou un adepte du taekwondo.

D’où l’intérêt du Free Fight, développer les techniques de sa discipline de combat propre en y amenant des techniques venues d’autres disciplines. Transmettre et apprendre pour devenir meilleur et complet.

« QUI EST LE PLUS FORT ? »

La réponse est là ! Personne !

Si tu ne fais pas preuve d’ouverture d’esprit, de bonne volonté, de motivation, de respect des autres, et de combativité, tu resteras en marge et ne progresseras pas.

LIBRE, ne veut pas dire SANS REGLES !

PS : le Free Fight en France oblige le port de gants (ouvert pour le combat au sol et les projections) et de coques de protection. Les protèges tibias et casques sont recommandés pour les combats de haut niveaux, mais obligatoire pour des combats en clubs. Si les protections obligatoires ne sont pas disponibles, le combattant est interdit de ring !
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Le professeur.
« …en chaque élève sommeil un maître ! »